Publication
13/05/2013

Les cadres parisiens voudraient quitter l’Ile de France: véritable fait social ou phénomène de mode?

Ce n’est pas un fait isolé. Les cadres veulent bel et bien quitter l’Ile de France. C’est ce que l’on découvre par l’intermédiaire d’une enquête réalisée auprès des jeunes cadres franciliens concernant leur mobilité révélée par Cadremploi-JDD sur les souhaits de mobilité des cadres en 2013.

 

Cet article révèle que 86% des cadres souhaiteraient partir, un tiers d’entre eux seraient mêmes prêts à partir dans les mois à venir. Certains n’hésiteraient d’ailleurs pas à se reconvertir pour trouver de nouvelles opportunités.Les deux raisons qui expliquent cette tendance sont :la volonté de créer un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privéeles prix de l’immobilier ainsi que l’attrait pour certaines villes ou régionsPartir : oui, pour une zone rurale : non ! En effet, 5% seulement des cadres voulant s’éloigner de la grisaille et des bouchons parisiens se voient déménager dans un espace rural. Les régions plébiscités sont le sud-ouest et le grand ouest, dans une ville d’au moins 50 000 habitants.

 

Cette tendance peut avoir des effets notoires sur le marché des jeunes cadres parisiens. Il est essentiel que les entreprises en saisissent l’impact et gèrent leurs ressources humaines  dans ce sens. Aujourd’hui, en plus des salaires, c’est une véritable qualité de vie que recherchent les cadres…Pourtant, selon la source Apec, Emploi cadre 2013, c’est près de la moitié des embauches de cadres qui sont signées en Ile De France. Ceci est vrai également pour le secteur de l’agroalimentaire où 26% des postes à pourvoir sont tournés vers les cadres, et 23% sont basés en Ile de France.Les cadres franciliens veulent donc partir, mais le marché de l’emploi leur permettra-t-il ?

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