
Trois questions à Mickaël Semery, nouveau responsable de la R&D de Yabon
Il est le 1000ᵉ cadre et dirigeant recruté par Leaderia. Pour nous, ce n’est pas seulement un chiffre qui compte : c’est une nouvelle preuve de notre savoir-faire et de notre raison d’être, au service des entreprises et des décideurs, de la terre à la table. La rencontre entre YABON et Mickaël Sémery c’est celle d’un professionnel expérimenté qui souhaitait retrouver du sens, de l’équilibre et de la stimulation. Aujourd’hui responsable R&D chez Yabon à Verneuil-sur-Avre, en Normandie, il revient sur un recrutement gagnant pour toutes les parties.
Que cherchiez-vous au moment où Leaderia vous a contacté ?
J’étais en poste depuis plusieurs années chez un acteur majeur de l’industrie agroalimentaire. J’avais exercé plusieurs responsabilités – chef de projet, responsable R&D, responsable de production – et relevé des challenges passionnants. J’étais en veille, sans urgence, mais avec une vraie envie de changement. Changement d’univers, mais aussi changement de rythme : j’avais besoin de retrouver un équilibre entre ma vie professionnelle et personnelle.
C’est dans ce contexte que Leaderia m’a contacté sur LinkedIn, fin octobre 2024. J’ai eu un premier échange avec Camille Lancrenon, puis un entretien plus approfondi avec Anaïs Deleau. J’avais déjà été approché par un cabinet, il y a quelques années, pour ce même poste, mais à l’époque, cela n’avait pas abouti. Très vite, j’ai perçu une approche différente. Ce qui m’a marqué, c’est la formalisation du processus : on savait où on allait. Les étapes étaient claires, la présentation du poste était précise. J’avais une vision complète : les missions, le contexte, les enjeux de Yabon. Dès les premiers échanges, j’ai pu me projeter.
« Ce que je retiens, c’est que les trois parties ont été heureuses de cette rencontre : l’entreprise, le cabinet et le candidat. »
Qu’avez-vous particulièrement apprécié dans l’accompagnement de Leaderia ?
Le professionnalisme et la bienveillance. On m’a mis dans de bonnes conditions. Avant les entretiens avec les dirigeants de Yabon, j’ai été coaché : on m’a donné des conseils, des repères. Et tout cela sans pression, avec beaucoup d’écoute. Leaderia m’a aussi challengé sur mes expériences passées, sur ma manière de manager. C’était un vrai exercice introspectif : j’ai pris le temps de revenir sur mes 15 années d’expérience, sur ce que j’en avais retenu, sur mes points de vigilance aussi.
Le courant est donc bien passé avec les équipes de Yabon. Deux entretiens ont suivi, d’abord avec la DRH Magali CAMPIN, puis avec le directeur général, Jean-Noël LE CARPENTIER. Tout s’est enchaîné rapidement. Je savais ce que je voulais ; l’entreprise savait ce qu’elle cherchait. Leaderia a aligné les planètes au bon moment.
Comment se sont passés vos premiers mois chez Yabon ?
L’intégration a été rapide, humaine, efficace. Dès le début, les équipes se sont montrées très disponibles pour m’accueillir. Mon arrivée était attendue et l’équipe R&D était prête à se remettre en mouvement. Je suis arrivé avec la volonté de faire avancer les projets, mais aussi de continuer à apprendre. La diversité des produits, les différents marchés en France et à l’étranger sont autant de leviers de stimulation. Avec sept lignes de production — du salé au sucré, des boîtes de conserve aux doypacks —, il y a de quoi faire vivre une dynamique R&D ambitieuse, qui est aujourd’hui l’ADN de Yabon. Le poste cochait aussi une case personnelle : une relative proximité géographique qui s’accompagne de la possibilité du télétravail occasionnel. Cela contribue fortement à l’équilibre que je recherchais. Par ailleurs, Anaïs et Camille ont pris régulièrement de mes nouvelles. C’était utile dans une période de démarrage qui est naturellement intense.
Si je suis sensible au fait d’être le 1000ᵉ recrutement de Leaderia ? Je suis cartésien, je ne crois pas beaucoup aux signes, mais la coïncidence me fait sourire. J’ai surtout pu mesurer le savoir-faire de Leaderia, et c’est un peu grâce aux 999 recrutements précédents… Ce que je retiens, c’est que les trois parties ont été heureuses de cette rencontre ; l’entreprise, le cabinet, et le candidat.
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